Avec ce qui se passe ces temps-ci en Tunisie et dans le monde, on n’a pas fini de rédiger un papier qu’il est dépassé par l’actualité! Et encore heureux qu’il y ait la presse électronique qui puisse réagir vite -le support papier de la veille semble être antédiluvien…
Commençons comme il se doit chez nous et évidement par la campagne électorale qui balbutie comme les candidats qui n’ont pas l’habitude d’être exposés aux feux de la rampe parlent dans leur poche et disent parfois n’importe quoi, ils sont presque touchants. Il ressort généralement de leurs propos même peu amènes qu’ils sont fondamentalement nationalistes même s’ils sont d’une incompétence affirmée.
Néanmoins, je me méfie comme de la peste de certains partis qui continuent, en douce et subsuperficiellement voire en profondeur, leur travail de sape et ont réussi à faire donner une image quelque peu dévalorisante de la plus haute fonction de l’ETAT et même ont tout fait, par personne interposée, pour transformer le prestigieux CARTHAGE en un asile où les présidents sont internés!
Et quand j’écoute certains, je pense à la pauvre grenouille qui, ayant aidé à traverser un oued en crue un scorpion qui par nature l’a piquée en plein gué et tout le monde a coulé. Comme dit le proverbe, «chassez le naturel et il revient au galop», et même si autour on écoute des choses invraisemblables –même un certain BOURGUIBA honni il y a quelques temps s’est fait réhabiliter par ces saigneurs et est redevenu un leader dont on bénit le nom! Non, non et non, 3 fois, comme dirait notre M2P3 qui, malheureusement, est devenu un objet entre les mains de ces exégètes du mal…
Soyons clairs et précis, ce n’est pas un hasard mais ce bout de pays ancré en AFRIQUE et situé à une portée de main de l’EUROPE ne peut en aucun cas basculer dans aucun extrémisme, qu’il soit religieux ni sanitaire. C’est simple: si jamais cela arrive, le Bassin méditerranéen sera contaminé et avec ces deux épidémies “sanitairoligieuses“ disparaitra tout simplement.
Mais peut-on se poser la question pourquoi et comment on en est arrivé là.
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