Dans une interview accordée à Reuters, le chef du gouvernement Mehdi Jomaa a indiqué que la Tunisie a besoin de trois ans de réformes fondamentales douloureuses pour redresser l’économie.
Ces réformes nécessitent l’audace, notamment les réductions de subventions outre la réforme du système fiscal afin de relancer la croissance économique en difficulté depuis le soulèvement de 2011, a-t-il dit.