Abdelhafid Ayadi, un Algérien de 54 ans a exprimé, lundi dernier, sa colère dans les locaux de la Caisse d’allocations familiales de Strasbourg, après avoir appris que ses droits avaient été revus à la baisse.
«Vive l’État islamique!», a-t-il dit. Et d’ajouer «Chaque fois qu’un Français est décapité, je suis content». Il a menacé de revenir «avec un arme, au nom de l’islam».
Jugé en comparution immédiate, le tribunal correctionnel de Strasbourg l’a condamné à 6 mois de prison ferme pour «apologie au terrorisme».
Avec le Figaro