L’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE) aurait rejeté 23 candidatures car leurs conditions d’éligibilité ne sont pas valables.
Dans un pays comme la Tunisie, pour avoir un emploi, on exige au candidat un B2 ou B3. Il est scandaleux, aberrant voire révoltant qu’on n’exige pas aux candidats aux élections législatives et présidentielle un bulletin n°3.
C’est dire qu’il doit y’en avoir beaucoup dont l’intégrité morale et le parcours professionnel ou politique ne sont pas aussi nets que ça.