Abdellatif Kharrat, premier président de la cour des comptes, n’a pas écarté la possibilité de réaliser des opérations de contrôle au niveau de la présidence de la République, L’Assemblée Nationale Constituante (ANC) et la présidence du gouvernement.
Le premier président de la cour des comptes a, toutefois, préféré taire les domaines et le nombre des opérations de contrôle qui seront réalisées au cours de l’année judiciaire 2013/2014.
Kharrat a, par ailleurs, rappelé que le rôle de la cour consiste à contribuer à la bonne gestion de l’argent public via la vérification de la légitimité des opérations réalisées et à attirer l’attention des personnes en charge des deniers publics sur les manquements et les moyens de les résoudre.