Dans le cadre de son initiative mondiale «Play It Safe», dédiée à la prévention du piratage, Microsoft a publié les résultats d’une étude conjointe menée par l’IDC (International Data Corporation) et l’Université de Singapour (NUS) intitulée «Le lien entre les logiciels piratés et les failles de sécurité».
Cette étude révèle que les entreprises vont devoir dépenser à l’échelle mondiale près de 500 milliards de dollars en 2014 pour faire face aux problèmes causés par les programmes malveillants volontairement introduits dans les logiciels piratés, 127 milliards pour les problèmes de sécurité et 364 milliards pour le piratage de données.
La recrudescence des cybercriminels
Par ailleurs, les consommateurs à travers le monde devraient dépenser plus de 25 milliards de dollars. Ils doivent gaspiller 1,2 milliard d’heures cette année pour traiter les menaces de sécurité et les coûteux dépannages d’ordinateurs causés par les programmes malveillants présents dans les logiciels piratés.
En ce qui concerne la Tunisie, les études de l’IDC et les statistiques de BSA (Business Software Alliance) dévoilent que 74% des logiciels utilisés en Tunisie sont piratés. «Les cybercriminels profitent de toutes les failles de sécurité qu’ils peuvent trouver, causant des dommages financiers désastreux pour tout le monde», signale Khouloud Ben Abdelkader, responsable de la Protection des droits de propriété intellectuelle chez Microsoft Tunisie.
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