Khaled Mbarek, éphémère conseiller-envoyé spécial (mars 2012-octobre 2013) du président Marzouki, va entrer dans les annales de la politique tunisienne avec un record difficile à battre.
Proposé ambassadeur à Bernes en octobre dernier, il va quitter ce poste sans l’avoir occupé ne serait-ce qu’un jour. Car le gouvernement suisse n’a agréé sa nomination que peu de temps avant la démission du gouvernement Laarayedh, c’est-à-dire après que les principaux partis politiques se sont mis d’accord pour une révision des nominations aux postes les plus importants de l’administration et de la diplomatie.
MM