Le Conseil national de sécurité (CNS), réuni vendredi, au palais de Carthage, sous la présidence du président de la République provisoire, chef suprême des forces armées, Moncef Marzouki et du chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa, a examiné la situation sécuritaire en Libye et son éventuel impact sur la Tunisie.
Le Conseil a, également, étudié les moyens de concrétiser l’idée de créer un commandement spécialement voué à la protection des frontières nationales.
La réunion a aussi été l’occasion de faire le suivi des efforts consentis par les différents corps sécuritaires et de l’armée nationale pour le maintien de l’ordre public, la poursuite du crime et la lutte contre les menaces de terrorisme. L’accent a été mis en outre sur la nécessité de redoubler de vigilance pour assurer la sécurité des citoyens, indique un communiqué de la présidence de la République.
Ont pris part à la réunion du Conseil national de sécurité, les ministres de l’Intérieur, de la Défense nationale, des Affaires étrangères, de la Justice, des Finances et des Affaires religieuses, outre le secrétaire d’Etat chargé du dossier sécuritaire et des responsables sécuritaires et militaires.