Le secrétaire général de la sécurité républicaine, Mohamed Rouissi, a indiqué au journal Al chourouk, mercredi 12 mars 2014, que les récentes nominations effectuées par le ministère de l’intérieur n’ont pas suffi à éradiquer la police parallèle de ses racines, ajoutant qu’il y a eu environ 500 nominations qui ont été réparties dans des postes clefs au sein du ministère (directeurs, cadres…), et ce du temps du gouvernement Ali Laarayedh .
Mohamed Rouissi a tenu à préciser que cette police parallèle a encore son mot à dire au sein du ministère de l’Intérieur et détient le pouvoir absolu.
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