Après le tollé provoqué par son émission de dimanche dernier, la polémique, les menaces de procès, les prises de position du syndicat, de l’autorité de régulation, la HAICA, en interdisant la rediffusion de l’émission, Samir El Wafi réservera l’édition de ce dimanche 16 février à essayer de réparer les dégâts de la précédente, en inversant les équilibres.
Les forces de sécurité auront la part belle au cours de cette émission, avec plus de représentants des forces de sécurité, la présence d’un membre des forces spéciales en cagoule et lunettes noires, le renfort de Cheikh El Béji pour faire oublier les sorties d’un Khamis El Mejri et la participation de Ridha Bel Hadj de Hizb Ettahrir, un modéré en comparaison avec Ansar Achariaa.
En gros on a eu l’impression d’assister à l’acte 2 d’une pièce mal ficelée, depuis le début.
Sur le plan de l’audience, Samir El Wafi et son émission continue à rassembler les téléspectateurs, avec un pic d’audience TV à 51%.
Une première partie avec des échanges houleux entre l’avocat de la précédente émission et Cheikh Férid EL Béji:
Après l’émission du dimanche 9 février et le débat qui s’en est suivi, notre confrère Al Masdar a demandé à deux experts de la presse ce qu’ils en pensent, voilà ce qu’ils disent:
Dr. Abdelkarim Hizaoui, PDG du Centre Africain de perfectionnement des Journalistes (CAPJC), enseignant à l’IPSI
Ridha Najjar, ancien PDG du CAPJC, expert spécialiste des médias