Le Forum global pour la lutte contre le terrorisme et le Centre africain d’études et de recherche sur le terrorisme (CAERT) organisent, depuis mardi 4 février à Alger, un atelier sur le kidnapping et le paiement de rançons.
Dans son allocution d’ouverture, l’ambassadeur Francisco José Madeira a déclaré que plus de 35 % des cas d’enlèvements commis par les groupes terroristes aux fins de contreparties financières ont été enregistrés dans le continent africain.
Il a expliqué la prédominance de ces actes en Afrique, plus particulièrement dans la région du Sahel est par plusieurs facteurs, notamment, l’absence des infrastructures ainsi que des moyens financiers et humains, la propension élevée de la corruption et de la criminalité, le déséquilibre en matière de distribution des ressources et l’instabilité politique.