“Aucun lien n’existe entre le renforcement des mesures de sécurité dans le pays et les informations concernant l’arrestation du chef d’Ansar- Chariaa, Abou Iyadh”, a déclaré mardi aux médias, le ministre auprès du chef du gouvernement, Noureddine Bhiri.
“Ces mesures sont ordinaires et visent à assurer la sécurité des tunisiens”, a-t-il ajouté à l’issue d’une réunion du conseil des ministres. Il a fait remarquer que les informations autour de l’arrestation d’Abou Iyadh, viennent refléter la volonté des tunisiens de voir la loi appliquée contre Abou Iyadh et tout individu qui s’avise à porter préjudice à l’intégrité et la souveraineté du pays.
Bhiri a mis l’accent sur “la bonne coordination” entre la Tunisie, la Libye, l’Algérie et les autres pays, en matière de sécurité dans la région. S’agissant de la date de démission du gouvernement, Bhiri a affirmé que cette question est liée à la “décision des parties prenantes au dialogue”.