“Nous avons évité de nous exprimer publiquement à ce jour pour qu’on ne nous accuse pas d’intervenir dans les affaires internes de la Tunisie.
Nous avons eu nombre de rencontres avec des partis politiques. Notre objectif n’était pas de nous mêler des affaires internes du pays mais de soutenir le processus de transition démocratique et de pousser vers l’achèvement au plus tôt de la rédaction de la Constitution».
C’est ainsi que Jacob Wales, ambassadeur des États-Unis, s’est exprimé mercredi 18 décembre 2013 lors d’une conférence de presse organisée au siège de l’ambassade. Il a reconnu que le processus tunisien de transition démocratique s’est avéré plus difficile que l’on s’y attendait : «Toutefois, la désignation d’un nouveau Premier ministre annonce d’ores et déjà l’amorce d’une sortie de crise que nous attendions impatiemment. Ceci étant, je tiens à préciser que les États-Unis n’ont à aucun moment intervenu dans le choix du candidat».
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