Interrogé, ce mercredi 6 novembre, par France Info, sur la mort “sous la torture” de Walid Denguir, le président de la République, Moncef Marzouki s’est dit horrifié et scandalisé.
L’enquête ira aussi loin que possible (…) Personne ne sera protégé. Ce sont des dérapages individuels. Je mets un point d’honneur à ce qu’on ne torture pas dans la Tunisie de l’après Révolution”.