Bravo, encore une fois, Amel B. A. Tu parles en connaissance de cause et seuls les handicapés ne le voient pas et ne l’entendent pas. Les preuves de l’ingérence plus qu’éhontée de l’ambassadeur US dans les affaires tunisiennes se promènent libres dans les rues de Tunis.
Ce Jacob Walles a de loin dépassé les ambassadeurs français, anglais et saoudiens réunis. Il se croit dans une «réserve indienne» qu’il faut «purifier». Tous ces ambassadeurs au service de Tel Abyb, ils n’auront de répit que si la Tunisie fait marche arrière et retourne au despotisme B&B ou si elle suit les pas de la Libye, Syrie, Irak, Yémen…
Il faut dire que nos loques de dirigeants leur ont ouvert les portes toutes grandes pour leur ingérence coloniale. Je me demande pourquoi les «sit-inneurs», «manifestants» et autres brailleurs député(e)s, « leaders » et « sages » ne vont pas sit-inner devant l’ambassade US et dire à Jacob Walles : OUT !
Ah, oui, c’est leur allié dans le putsch. NOUS N’AVONS JAMAIS CRU OBAMA ET SA CLIQUE AU CONGRES en quoi que ce soit et surtout en ce qui concerne «la démocratie et la liberté en Tunisie et sur ce mythe appelé printemps arabe». Amel, il n’y avait de masques pour qu’ils tombent. Ce n’est qu’hypocrisie sioniste.
Pour l’Europe et sa réaction après l’attentat de Sousse, qui n’en est pas un en fait, il faut se rappeler certaines évidences. «Guidée» par des ultra sionistes depuis de longues décennies (Blair, Cameron, Sarkozy, Hollande …), pays en faillite économique, sociale, culturelle et morale, on comprend que les incapables cherchent toujours un cintre pour y déposer leur fiasco.
Y a pas mieux que les «étrangers» (roms, tziganes …) et surtout ARABES ET MUSULMANS. Non, l’alibi de la peur «qu’on pourrait décréter des principautés en plein cœur des villes européennes dans les quartiers à majorités maghrébines et s’organiser pour le djihad» n’est qu’un cintre, un fantasme pour s’auto-convaincre. D’ailleurs, les européens n’ont pas besoin «d’islamistes» pour des actes terroristes, ils en ont de l’intérieur beaucoup mieux structurés, entraînés et surtout «intouchables».
La démocratie, la vraie, en Tunisie est aujourd’hui dans la gorge d’une carafe. Si le putsch en cours s’accomplit, comme en Egypte, adieu démocratie, adieu Tunisie. Il est primordial pour la démocratie que le chef du gouvernement Laarayedh ne démissionne pas. Il est certain que quel que soit le gouvernement formé par les putschistes, la situation empirera et le terrorisme règnera pour longtemps.
En réaction à l’article -Terrorisme: Prudence accrue en Europe, interventionnisme éhonté des States?