Le porte-parole d’Ennahdha, Ajmi Lourimi, a accusé « les parties qui ne croient pas au dialogue » d’être à l’origine des attaques des bureaux du mouvement dans certaines régions.
Pour Lourimi, ces actes ont pour but de déstabiliser le processus politique et de saboter les efforts déployés en vue de conforter l’unité nationale.
Au cours d’une conférence de presse, jeudi, à Tunis, Lourimi a appelé toutes les forces nationales et les partis politiques à prendre une position claire des agressions qui ont ciblé les locaux du mouvement et quelques uns de ses militants. Le mouvement, a-t-il soutenu, poursuivra en justice les agresseurs pour réprimer de tels actes.
Il a rappelé que les agressions contre son parti ont commencé depuis le 6 février 2013, date de l’assassinat du martyr Chokri Belaid.