Intox ou pas, la page présumée ne peut être que celle de hackers. Le formulaire demande nom, prénoms, adresse mail et questions posées.
D’ailleurs, on se demande ce que les Tunisiens peuvent poser comme question à ce mercenaire du terrorisme et de l’assassinat nommé Abu Yaadh. C’est aussi une manière de savoir qui et combien sont les Tunisiens qui « sympathisent » avec corbeaux de malheur. Alors, à chacun de juger.