C’est à Québec que cela se passe, le cheikh Hussein Mohamed Amer, imam de la mosquée Aljisr de Laval au Québec, justifie la violence [«pas sévère»] du mari envers son épouse, en dernier recours et dans un but éducatif, quand le mari n’est pas parvenu à la convaincre de retourner sur le droit chemin de l’islam.
Voici la fatwa :
«Le prophète Mahomet, la paix soit sur lui, a dit: si les épouses le font, alors les maris doivent les battre, mais pas sévèrement [Muslim 1218]. D’aucuns soutiennent, en lisant ce texte, que la loi islamique permet au mari de battre sa femme, tandis que d’autres affirment que l’islam opprime la femme en permettant au mari de la battre.
;Mes frères et mes bien-aimés, l’islam enseigne que battre sa femme est une forme d’éducation, et un dernier recours [littéralement, le “dernier médicament”, c’est-à-dire un médicament administré après que tous les autres ont échoué à guérir la maladie, comme dit le hadith :] le dernier médicament brûle [la peau avec du feu].
L’Occident interdit la violence à des fins d’éducation et c’est la position que nous adoptons ici. La vérité est cependant tout autre. Battre sa femme est une forme d’éducation … le mari peut battre sa femme lorsqu’il a épuisé toutes les solutions possiblement efficaces et qu’il n’y a pas d’autre traitement.
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