Dans un état de nervosité extrême, Noureddine B’hiri, ministre auprès du chef du gouvernement, a déclaré, lundi 30 septembre, sur les ondes de Radio express fm, que le gouvernement n’a pas encore annoncé sa démission et ne l’annoncera pas avant le démarrage du dialogue et l’adoption de la Constitution, l’élaboration d’une loi électorale et la formation de l’Instance supérieure pour l’indépendance des élections (ISIE).
Il a ajouté qu’il n’existe aucune raison pour que le gouvernement démissionne et plaidé pour un gouvernement élargi. Il a tempéré ses propos en indiquant qu’il reste, néanmoins, à l’Assemblée nationale constituante (ANC) de choisir un nouveau gouvernement.
Heureusement qu’il existe une institution qui contrôle ce gouvernement…