De source bien informée et sous des pressions américano-européennes, il parait que Béji Caid Essebsi serait désigné président de la République et Chedly Ayari Premier ministre.
En contrepartie, les ministres nahdhaouis bénéficieront de l’impunité totale. Objectif : sauver la mise à la Nahdha, faire croire à l’opinion publique internationale que le passage de l’islam politique dans un pays ne fait pas autant de dégâts comme tels ceux perpétrés en Égypte, mais surtout sauver la mise aux Américains et Européens qui ont parié sur l’islam politique et qui se sont cassés la gueule en Égypte, en Syrie et bien avant en Afghanistan.
Béji Caid Essebsi aurait-il discuté de ce deal avec Laurent Fabius lors de son dernier passage à Paris ?