David Hilder, un Britannique de 46 ans, a récemment été condamné à la prison à vie avec 12 ans de sûreté grâce à l’analyse de l’ADN de son chat retrouvé sur le corps de la victime, a annoncé mercredi l’université de Leicester.
Cette université du centre de l’Angleterre a créé un fichier génétique des félins du pays après avoir recueilli les empreintes génétiques de 152 chats pour constituer cette base de données.
Le fichier a servi de référence pour établir que les poils trouvés sur le corps d’un homme découvert sur une plage de Portsmouth (sud) en juillet 2012 correspondaient à ceux du chat de David Hilder, le principal suspect de cette affaire.
Une telle base de données d’ADN de chats existe aux Etats-Unis. Un homme avait déjà été condamné au Canada en 1996 pour le meurtre de sa femme grâce à l’analyse génétique des poils de chat retrouvés près des lieux du crime.
Avec AFP
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