Dans un communiqué publié ce vendredi 2 août 2013, le ministère des Affaires religieuses souligne que les partis politiques n’interviennent pas dans la nomination ou la révocation des imams, et que tout comme pour les médias et la justice, l’institution religieuse est à la même distance de toutes les forces politiques.
“Le dénommé Ferid Béji n’a pas été chargé de l’imamat pour en être révoqué”, a ajouté le ministère en réponse aux propos du président de l’association Dar El Hadith, selon lequel Ennahdha est intervenu pour l’empêcher de diriger la prière du vendredi.
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