
S’exprimant, samedi, à la Cité des Sciences à Tunis, lors d’une conférence à l’occasion du démarrage des journées nationales des affaires religieuses, El Khademi a affirmé qu’en cas d’infractions, le ministère agira en premier temps avec souplesse à l’égard des cadres religieux non autorisés qui entravent la marche régulière des mosquées, avant d’engager des poursuites judiciaires.
Ces journées nationales qui se poursuivront jusqu’à la fin de l’année en cours seront couronnées par l’élaboration d’un pacte régissant la relation entre les affaires religieuses, la société et l’Etat afin d’éviter toute récupération partisane ou sectaire de la question religieuse.




