Après le Printemps arabe, qui a vu l’arrivée des islamistes au pouvoir en Tunisie, en Egypte et au Maroc, qui se sont avérés incompétents à ramener la paix, la sécurité et surtout à redresser l’économie, on semble se diriger tout droit vers un “été arabe“ très chaud.
Si la Tunisie a ouvert le bal du printemps arabe, c’est de l’Egypte que le rejet des nouveaux gouvernements islamistes s’organise désormais. En effet, depuis quelques jours, le président Mohamed Morsi est sommé -et par les manifestants et par l’Armée- de quitter le pouvoir.
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