Le Parti socialiste (PS) accuse les partis et les éléments qui, selon lui, ont recouru à « la provocation », lors de l’ouverture, mardi, à Tunis, de la conférence nationale contre la violence et le terrorisme, de tenter « de perturber la conférence, de porter préjudice à son image auprès de l’opinion publique et de priver le peuple tunisien de la possibilité d’établir un pacte contre le terrorisme ».
Le PS considère, dans une déclaration, que tous les partis politiques et toutes les composantes de la société civile sont appelés à contribuer à la réussite de cette importante conférence nationale, estimant que certains participants doivent éviter les réflexions partisanes, les slogans qui débordent du cadre de la conférence et tout ce qui peut susciter des frictions.