
De même, ajoute le communiqué, et sans vouloir interférer avec l’indépendance de la justice, le ministère souhaite que la justice prenne en considération le droit à la différence, à la liberté et à la démocratie suite aux revendications de la révolution.
Il a, par ailleurs, exprimé son souhait de voir le rappeur tunisien bientôt libre parmi sa famille et son public.
pour rappel, le rappeur avait été condamné, à deux ans de prison ferme avec exécution immédiate de la peine, pour une chanson jugée insultante par la police.




