
Les participants au débat ont estimé qu’il faut lutter contre les causes de la migration qui sont notamment la pauvreté et le sous-développement des pays origines de l’immigration.
Ils ont critiqué dans ce cadre les politiques migratoires qui appellent au renforcement du contrôle sur les frontières considérant cette démarche comme “une manière superficielle pour traiter ce problème sans rechercher les véritables causes”.
Le débat a également porté sur la valeur économique et sociale des migrations tunisiennes, appelant à promouvoir et à valoriser la participation des migrants et à accroître le potentiel de confiance et la participation des migrants tunisiens.
Des interrogations ont été posées concernant le respect des droits fondamentaux des migrants et de leurs aspirations, dans un contexte fortement marqué par des politiques migratoires restrictives en matière de séjour et d’accueil temporaires des immigrants, en Europe comme ailleurs.




