«L’assassinat politique a pour dessein de créer un climat de terreur et d’anarchie, donnant, ainsi, légitimité au chaos », a indiqué, vendredi, Me Johann Soufi, membre du bureau de la Défense près le tribunal spécial pour le Liban (TSL) chargé du dossier de l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafik Hariri.Noureddine Hached a également expliqué que les investigations concernant l’assassinat du martyr Farhat Hached, sur lequel il détenait plusieurs témoignages, ont révélé l’existence d’un groupe de pays qui planifient et exécutent des crimes pour atteindre des objectifs politiques et sécuritaires.