Griffonnée sur les murs, susurrée ou clamée, l’expression « vive Ben Ali ! » (sincère, cette fois) fait un retour en force un peu plus de deux ans après le début du Printemps arabe – qui s’est révélé être un automne -, déclenché en janvier 2011 par la « révolution du jasmin », de Sidi Bouzid à Tunis…
L’auteur termine son papier d’humeur publié sur Jeune Afrique en paraphrasant la perle apocryphe, « la Tunisie était au bord du gouffre. Depuis, elle a fait un grand pas en avant ».
Par Mohamed Habib Ladjimi