Pour ceux qui connaissent Moncef Marzouki et son avidité pour l’argent et le pouvoir, cette info n’est ni si étrange ni pertinente, mais la question est ailleurs.
Si Marzouki, en tant que président de la République, a perçu, et continue de percevoir, «un salaire de 50.000 euros» de qui que ce soit, il faut immédiatement le déposer et le juger.
Si ce « salaire » était perçu quand il était «opposant exilé», c’est son droit. Reste à savoir si Marzouki est un cas unique. Et, si tous nos clowns politicards, qu’ils soient au gouvernement ou dans l’opposition, ont chacun son salaire ? Que deviendrons-nous si on les mettait tous en prison ?
Imaginez la Tunisie vidée de ces «leaders» ! Ouf, l’air est sain mais la scène est lugubre.
Amad Salem
(En réaction à l’article :Moncef Marzouki salarié d’Al Jazeera : Zahran lui propose une rencontre devant un juge)