Le journaliste et membre de l’Association tunisienne contre la torture et l’un des fondateurs du Centre de Tunis pour la liberté de la presse, Fahem Boukadous, a déclaré au micro de Shems FM ce lundi que plus de 50 journalistes ont été agressés pendant le mois de février 2013. Vingt de ces agressions ont été infligées par des agents de la sureté, ce qui est un chiffre alarmant.
Fahem Boukadous a ajouté que les agresseurs sont partagés en cinq catégories contrairement à la période Ben Ali. Aux agents de la sureté s’ajoutent les forces de l’armée, les groupes d’extrémistes, les groupes de criminels et des forces politiques et syndicales.
ABM