
“Baghdadi al-Mahmoudi est dans un état critique en raison des tortures qu’il a subies”, a-t-il dit, ajoutant qu’il “pourrait mourir”. L’avocat a cependant refusé d’identifier ses sources afin de les protéger d’éventuelles représailles.
En juin 2012, la Tunisie, où avait fui l’ancien Premier ministre, l’avait remis à Tripoli, assurant avoir obtenu des garanties pour qu’il soit bien traité en prison. Son procès s’est ouvert en novembre à Tripoli.
Plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme, ainsi que des personnalités de l’opposition tunisienne, ont vivement critiqué la démarche, estimant qu’elle violait le droit international, malgré l’engagement de Tripoli à garantir un procès équitable aux dirigeants de l’ancien régime.




