
Hamrouni a indiqué, dans une déclaration à la presse à l’issue d’une entrevue avec Ali Larayedh, à Dar Dhiafa, à Carthage, que le vide juridique inhérent à l’absence de cette instance de régulation est, potentiellement, porteur de désordre dans le paysage médiatique. Elle a cité des des exemples d’abus dans ce domaine comme le licenciement de journalistes, la fermeture d’entreprises de presse, ou la création d’autres entreprises sans autorisation légale.
S’agissant du retard dans l’annonce de la composition de la HAICA, Hamrouni a fait remarquer que des partis de la Troika cherchaient à politiser cette instance en imposant des noms, en violation des dispositions du décret-loi 116 qui interdit l’interférence des partis dans le secteur.
Hamrouni a indiqué que le SNJT maintient ses candidats Rachida Neifar et Hichem Snoussi, lesquels ont été choisis selon les « normes convenues », a-t-elle précisé marquant son étonnement des réserves émises par les partis de la Troika concernant ces personnes.
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