Quelques réactions de nos lectures à la suite de l’assassinat du militant de gauche Chokri Belaid :
Nous sommes consternés, atterrés par cet acte terroriste. Il ne suffit pas de déplorer, et de condamner cet assassinat mais de maudire les commanditaires et les exécuteurs, de les rechercher et de les pendre haut et court. Nous entrons de plain-pied dans la phase « yousséfiste » de 1955. Les clans de la terreur veulent mener le pays à l’anarchie totale. On va sûurement mettre ce crime sur le dos des « salafistes », l’instrumentaliser au plus haut degré et manipuler l’opinion publique pour des desseins obscurs. Il est d’une primauté et une importance capitale de connaître tous les vrais commanditaires et exécuteurs quels qu’ils soient et de les traduire devant la justice dans les plus brefs délais. (amad salem)
Bravo à tous ceux qui ont voté nahdha, c’est comme cela que vous voulez voir le pays?
Chokri Allah yarhmou, il était pratiquement le seul à dire la vérité en face et à crever les yeux des pseudo-islamistes qui les a pourtant défendus auparavant parce qu’il croyait à la différence et à la liberté, à la différence contrairement à ces assassins qui, par leur laxisme et mutisme, ont détruit le pays, affaibli son économie, incendié son identité et arraché son drapeau. Mais ces corbeaux affamés qui veulent faire régner le chaos, la médiocrité et l’ignorance seront la cible des vrais Tunisiens qui adorent le savoir, la lumière, les couleurs, la vie et le DRAPEAU; CHOKRI ALLAH YARHMEK ENCORE MILLE FOIS. (Olga)
Que celui ou ceux qui ont commandité cet acte ignoble ne se réjouissent pas trop, car nous les Tunisiens, hommes, femmes et enfants, nous sommes des Chokri Belaid. Alors messieurs les antidémocratiques, vous devez nous tuer tous pour arriver à votre fin. Bientôt après les élections vous serez notre priorité. Vous n’aurez plus cette latitude presque insultante d’agir à votre guise en toute impunité. (moipaslautre)
MONCEF MARZOUKI DOIT DEMISSIONNER ET LAISSER LA PLACE A MME BELAID QUI SERA L’EMBLEME DE LA REVOLUTION ET LE MERITE DU MILITANTISME DE CHOKRI. (JAGHMOUN)