Depuis plus de 50 ans, la compagnie Tunisair n’a même pas les moyens financiers de ramener son nouvel «A 320» en attente dans un hangar.Elle a besoin de licencier les 1.200 employés recrutés au lendemain des événements du 14 Janvier sous la pression syndicale et sollicite vainement 500 millions de dinars auprès des banques tout en ne pouvant compter sur le soutien de l’Etat qui s’en désolidarise.
L’entreprise n’a pas les moyens de ses réformes et se voit obligée de concéder la «5ème voie au Qatar alors qu’elle avait l’ambition de lancer plus de 20 destinations –notamment sur l’Afrique- pour relancer ses activités.
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