
Il a ajouté que les responsables de la coordination vont œuvrer pour la consolidation “de l’esprit de coopération, d’amour et de tolérance entre les citoyens, conformément aux principe du soulèvement de Siliana en 1990″.
Dans ce sens, Nejib Kharroubi a expliqué que la coordination vise, aussi, à faire face “à toutes les tentatives de diffusion de la violence politique et de la discorde”, provenant, d’après lui, “des ligues de protection de la révolution dont l’allégeance aveugle au parti Ennahdha a été prouvé, surtout que le bureau régional de ce parti a refusé d’adhérer à l’action de la coordination”.
La “Coordination pour la rectification du processus de la révolution” de Siliana compte comme membres l’Union régionale du travail, l’Union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, le Mouvement du peuple, l’Union patriotique libre, et le parti Al Joumhouri, les Nationaux démocrates unis, le parti des travailleurs et celui du travailleur tunisien.
Des associations de la région font partie de cette coordination, notamment celle de la citoyenneté et du développement et Atid, ainsi que le réseau Doustourouna, l’Organisation tunisienne pour les droits de la femme, ainsi que des militants des événements de Siliana en 1990 et des activistes politiques indépendants
DI/TAP




