Agareb a retrouvé son calme après le retrait des forces de l’ordre et la mobilisation des unités de l’armée pour assurer la sécurité des établissements étatiques, notamment le siège de la délégation.
Plusieurs manifestants ont par ailleurs brulé les documents et dossiers se trouvant au poste de la garde nationale dans la ville après le retrait des forces de sécurité.
La société civile a pris l’initiative de créer un comité local pour le maintien de l’ordre et combler l’absence des forces de sécurité dans la ville.
DI/ Mosaïque FM