
« L'autorité de contrôle des décisions de l'administration n'est pas du ressort de Human Rights Watch ou d'autres structures mais de celle du Tribunal administratif qui est seul habilité à annuler une décision faisant l'objet d'un recours », souligne le ministère de la Justice dans une mise au point en réaction à une déclaration d’Emna Kalleli sur 10 magistrats parmi le groupe révoqué.
L'ONG américaine de défense des droits humains avait estimé, dans un communiqué de presse publié le 15 janvier sur son site WEB, que « les juges révoqués devraient avoir accès à leur dossier ». Dans une lettre adressée le 20 décembre 2012 au ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, Human Rights Watch « demandait d'avoir accès aux dossiers (des juges révoqués), forte du consentement écrit de dix des juges révoqués ».
Di/TAP




