
Le syndicat indique, dans un communiqué publié lundi, qu'un responsable au ministère des droits de l'Homme et de la justice transitionnelle lui a fait savoir, lors d'un entretien jeudi, que le ministère entend envoyer des correspondances à tous les ministères et les services concernés afin d'accélérer la constitution de commissions chargées d'examiner les demandes.
"Le même responsable a affirmé que les agents dont les affaires ont été classées ou assorties d'un non-lieu, et qui n'ont pas bénéficié de l'amnistie générale, peuvent présenter leurs dossiers aux services du ministère des droits de l'Homme pour régulariser leurs situations au même titre que les bénéficiaires de l'amnistie", souligne encore le communiqué.
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