Dans une lettre ouverte au ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, Belhassen Trabelsi, depuis son refuge canadien, se dit offensé par les “qualificatifs” («chef de bande», et de «tête de vipère») dont il bénéficie à chaque fois qu’on parle de lui.Il rappelle au ministre de la Justice que “tout accusé est innocent jusqu’à preuve du contraire” et qu’il reste dans l’attente d’une justice équitable.
Dans cette lettre, Belhassen Trabelsi finit par citer «La révolution tunisienne qui est une révolution de la dignité”