
“L’état de panique et de flou que vit aujourd’hui le Tunisien s’explique par la lenteur du gouvernement et de l’Assemblée constituante qui tardent à parachever l’étape transitoire et à trancher sur certains dossiers”, a-t-il relevé, mettant également en cause “la faiblesse des acteurs politiques et la situation fragile qui prévaut dans le pays”.
Khalil Zaouia a, par ailleurs, considéré que les remous dans le rendement du gouvernement sont “un fait normal” lors d’une phase de transition qui exige consensus et dialogue, a-t-il dit, en attendant la formation d’un gouvernement stable capable d’engager des réformes radicales dans nombre de domaines.
Di/TAP




