Maouia Belhadj, ancien candidat à la présidence de la République (il était en décembre 2011 parmi les 9 concurrents de Moncef Marzouki à la magistrature suprême), confirme son engagement dans la politique.
Un an après avoir livré cette bataille, il crée le Parti des Néo-Conservateurs Tunisiens qui entend défendre l’autorité de l’Etat, l’ordre, la sécurité, le libéralisme économique, etc.
Maouia Belhadj, professeur de finance, a recruté l’écrasante majorité des co-fondateurs de ce nouveau parti dans le milieu universitaire, notamment celui des professeurs d’économie et de finance, dont certains, comme lui, sont diplômés de Paris IX Dauphine et exercent à l’Institut supérieur de gestion de Tunis.
M.M
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