
Dans un communiqué, le mouvement dénonce la “désinformation” et “l’inertie” des défenseurs des droits de l’homme concernant cette grève de la faim qui s’est poursuivie durant plusieurs dizaines jours mettant en danger la vie de citoyens tunisiens.
Béchir El Golli et Mohamed Bakhti, deux salafistes, sont décédés, successivement, jeudi et samedi à l’aube, suite à une grève de la faim en protestation contre leur arrestation dans l’affaire de l’attaque de l’ambassade américaine à Tunis.
WMC/TAP




