
Telle est la question posée par Mohamed Mediouni, directeur de la session dans un document de présentation autour de ce festival, premier du genre dans les pays arabes et africains, dont les sessions ont été organisées depuis 1966, sans interruption, une fois tous les deux ans.
La 24ème session des Journées cinématographique de Carthage(JCC) débutera demain vendredi 16 novembre à partir de 20 heures à la salle “le Colisée” de Tunis, avec une cérémonie artistique signée Hatem Derbel. Le film documentaire “Dégage” de Mohamed Zran, relatant les péripéties de la révolution tunisienne, sera présenté à l’ouverture du festival.

Il a ajouté qu’il était essentiel “de revenir aux principes fondamentaux du festival qui consistent en la recherche de pistes alternatives permettant aux Arabes et Africains de mettre en place leur propre cinéma et de le diffuser à travers le monde, comme le souhaitait feu Tahar Chriaa, le père JCC, dans son livre ” Écrans d’abondance et cinéma de libération en Afrique” .
A noter que cette session verra la participation de 210 films de 34 pays, répartis sur les différentes sections du festival.
WMC/TAP




