
« Ce mouvement de protestation intervient en réaction à la « passivité surprenante » des pouvoirs exécutif et législatif dans la lutte contre les « attaques directes et méthodiques » qui prennent pour cible les agents de l’ordre et leurs familles », affirment, mercredi, les deux syndicats dans un communiqué commun. A cet égard, les syndicats appellent à une réunion d’urgence du conseil supérieur des forces de l’intérieur pour examiner la situation sécuritaire face aux agressions répétées des agents de l’ordre.
WMC/TAP




