
Elle a, également, imputé au gouvernement l’entière responsabilité de ce qui se passe dans le secteur de l’information, dès lors qu’il a « tardé à juger les journalistes corrompus ».
«La visite de l’ambassadeur de France à Tunis au siège du Syndicat national des journalistes tunisiens constitue une ingérence flagrante dans les affaires intérieures du pays », a-t-elle encore indiqué. Cette visite, a-t-elle estimé, vient témoigner de « la persistance de la mentalité colonialiste chez le diplomate et ceux qui sont à la solde de la France en Tunisie ». A cet égard, elle a estimé que « le Syndicat national des journalistes tunisiens a perdu toute sa crédibilité ».
WMC/TAP




