
“Nous exprimons notre solidarité avec les revendications des habitants de la délégation de Menzel Bouzaïene (Sidi Bouzid) et constatons le recours à la force pour réprimer les protestations populaires”, ont indiqué les grévistes. M. Ibrahimi a souligné : “Nous réclamons la libération immédiate des personnes interpellées dans ces mouvements de protestation et invitons le gouvernement à engager un dialogue sérieux avec les composantes de la société afin d’identifier les moyens permettant de promouvoir les conditions socioéconomiques dans la région.”
De son côté, M. Khaskhoussi a affirmé qu’à l’instar du gouvernorat de Sidi Bouzid, plusieurs autres régions de la Tunisie endurent les mêmes difficultés liées au déséquilibre régional, à l’absence de la justice sociale et au manque de programmes d’emploi et de développement.




