
“Je vis dans l’austérité, la renonciation. J’ai besoin de peu pour vivre. Je suis arrivé à cette conclusion parce que j’ai été prisonnier durant 14 ans, dont 10 où si la nuit, on me donnait un matelas, j’étais content”, raconte cet ancien guérillero tupamaro, emprisonné sous la dictature (1973-1985).
Élu président de l’Uruguay en 2010 sous la bannière d’une coalition de gauche, “Pépé”, comme le surnomment les Uruguayens, affiche en effet de solides convictions concernant l'”esclavagisme” moderne consistant “à vivre pour travailler” au lieu de “travailler pour vivre”.
(Source : AFP)
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