
Le syndicat estime qu’il s’agit d’un acte d”’incitation à l’encontre des journalistes présentés comme des ennemis de la révolutions”, faisant savoir qu’il rendra le dirigeant nahdhaoui responsable de “toute attaque ou ennui qui pourraient arriver à un journaliste ou à un employé du secteur” .
Le syndicat a dénoncé dans le même contexte “le silence à l’égard des actes d’incitation criminels à l’encontre des journalistes et des médias”, appelant les autorités du pays à “s’opposer sérieusement aux tentatives pour faire peur aux journalistes”.




