Le 15 août 2012, au Novotel à Tunis, plusieurs représentants de la société civile tunisienne ont répondu présents à l’invitation de la LTDH (ligue tunisienne des droits de l’homme), de l’AFTURD (association des femmes tunisiennes pour la recherche et le développement) et de l’ATFD (association tunisienne des femmes démocrates) pour une «lecture critique du projet de la commission de la constituante sur les droits et les libertés».
Abdessatar Ben Moussa, président de la LTDH, a ouvert le bal en citant « un certain cheikh » qui a déclaré qu’on n’avait plus besoin des femmes démocrates, se référant à la déclaration de Abdelfatteh Mourou. « On a plus que besoin aujourd’hui et nous les soutiendrons de toutes nos forces. Qui aurait cru possible qu’après le 14 janvier, on serait arrivé à mettre en danger les droits des femmes » ?
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